Instauré par la loi Alur, le Diagnostic Technique Global vient remplacer le diagnostic de mise en copropriété depuis le 1er janvier 2017.
Il permet aux propriétaires de pérenniser leur patrimoine immobilier grâce à l’évaluation technique, réglementaire et énergétique de leur immeuble.
DANS QUELS CAS RÉALISE-T-ON UN DTG ?
Pour la mise en copropriétés :
Lors de la mise en copropriété d’immeubles de plus de 10 ans, dès lors que le propriétaire unique d’un immeuble le divise en lots pour les vendre.
Pour les copropriétés existantes :
Depuis le 1er janvier 2017, le syndicat des copropriétaires de tout immeuble a l’obligation d’organiser un vote pour se prononcer sur la réalisation d’un DTG ou non.
QUE COMPREND UN DIAGNOSTIC TECHNIQUE GLOBAL ?
Le DTG doit contenir les informations clés relatives au bâti de la copropriété :
QUI PEUT RÉALISER UN DIAGNOSTIC TECHNIQUE GLOBAL ?
Le Diagnostic Technique Global doit être réalisé par un professionnel. Celui-ci doit être titulaire soit d’un diplôme, d’un titre professionnel, de l’attestation d’inscription au tableau d’un ordre professionnel reconnu dans l’immobilier ou d’une certification de qualification professionnelle de niveau équivalent. Le décret du 30 décembre 2016 relatif aux modalités de réalisation du Diagnostic Technique Global précise les qualités requises (bac + 3 dans les domaines des techniques du bâtiment nécessaire, etc.).
LE CADRE RÉGLEMENTAIRE DU DTG :
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